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Les PEUVION du Boulonnais et du Haut-Pays, par Michel CHAMPAGNE et Philippe MAY


Les Peuvion sont installés près de Montreuil, dans cette partie du Haut-Boulonnais qui jouxte l’Artois ; ils vont donner naissance à une puissante famille concentrée autour de son domaine de Maninghem-au-Val dont quelques représentants vont s’intituler sieurs au début du 17e siècle. D’autres lignées se constituent dans la vallée de la Course, dès le 16e siècle. Vers le milieu du 17e une famille fait souche à Neufchâtel et se perpétue au Sud de Boulogne.
La dernière grande figure qui se dégage est celle de Jean Peuvion (1720-1803), encore maire de Maninghem-au-Mont l’année de son décès, propriétaire de plus de 108 hectares, malgré les amputations et morcellements successifs du domaine dans les deux siècles écoulés ; de ses deux épouses il avait eu quinze enfants dont la plupart survécurent ; aussi son patrimoine immobilier fut morcelé à sa mort.

Voici le sommaire de cet ouvrage de 78 pages : Préambule [1-2]. Anciennes mentions [2-3]. Les PEUVION de Maninghem-au-Mont et Maninghem-au-Val [3-45] : filiation du 16e siècle ; descendance de Pierre Peuvion, à Maninghem-au-Val, Bimont, Herly, Quilen, Thiembronne ; les Peuvion de Maninghem-au-Mont ; branche de Claude Peuvion. Les PEUVION d’Herly, alliances Quentel, Lamort et Dannel, [45-58]. Les PEUVION de Neufchâtel et des environs [58-63]. Autres PEUVION du Boulonnais et du Haut-Pays (Beaurain et Beaurainville, Beussent, Bimont et Maninghem-au-Mont, Boulogne-sur-Mer, Bourthes, Campagne-lès-Boulonnais, Carly, Doudeauville, Embry, Enquin-sur-Baillons, Ergny, Herly, Hucqueliers, Longvilliers, Montreuil, Preures, Recques-sur-Course, Renty, Rimboval, Samer, Senlecques, Verchin, Wicquinghem, Widehem et Énocq) [63-74]. Table des principaux patronymes [75-77]. Table des prêtres cités [77].

Philippe MAY - GGRN



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Pierre DUPONT : un Audomarois à la garde républicaine


En prolongement de l'article publié dans Généalogie 62, n° 92, et en présence de la famille de Pierre Dupont venue spécialement pour l'occasion de la région parisienne, Thomas DELVAUX a animé une conférence sur Pierre DUPONT : un Audomarois à la garde républicaine samedi 20 janvier.

Pour la première fois de son histoire, la bibliothèque de l'agglomération de Saint-Omer a accueilli la Société Académique des Antiquaires de la Morinie pour évoquer cet illustre Audomarois, né en 1888. Ce fut l'occasion de tirer des fonds d'archives les pièces originales où Pierre DUPONT et sa famille apparaissaient.

l'interview sur RDL

quelques photographies

Les thèmes développés et illustrés par une projection vidéo ont été la jeunesse de Pierre DUPONT de 1888 à 1931. En particulier, sa formation à l'école nationale de musique de Saint-Omer, sa nomination à la tête de la musique de la garde républicaine en 1927 et son retour triomphal en 1931 lors de l'inauguration du monument Monsigny (place Sithieu). l'accent a été mis sur l'aide apportée par la mairie de Saint-Omer lors de sa "montée à Paris" pour aller étudier au conservatoire de Musique de Paris. De même, les médias, et l'Indépendant en particulier, se sont fait l'écho au quotidien de sa carrière lors de sa promotion de 1927 et lors de son retour en 1931.

Thomas DELVAUX



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Les prisonniers de guerre espagnols sous l’Empire à Saint-Omer


Après Aire et Saint-Venant, le deuxième article de la série nous amène à Saint-Omer à la découverte des traces laissées par ces prisonniers. L'état-civil donne, au-delà de la simple mention des décès, des précisions intéressantes concernant la mort de ces espagnols. L'apport des sources archivistiques vient en outre nous renseigner sur leur position particulière dans une place militaire proche de la frontière.

François CARON & Matthieu FONTAINE
(Généalogie 62, n° 93, février 2007)



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Des Croisades aux blasons communaux : voyage au coeur de l'héraldique


L'héraldique souffre de l'utilisation d'un jargon qui fait partie de son histoire et de sa richesse. Passé ce premier cap de la terminologie, cette science se révèle une source d'information de premier ordre. Débutant avec les croisades, l'histoire héraldique est restée fidèle à ses principes de base. Encore d'actualité, de nombreuses villes ont repris leurs armes au XX° siècle ou s'en sont confectionnées, généralement à partir de l'histoire locale. Thomas DELVAUX a exposé ce qu'est la science héraldique dans ses fondements, ses composantes et son évolution jusqu'à nos jours.

Cette conférence eut lieu le mardi 20 mars 2007 à 18 h, place Digeon à Saint-Mandé (94), dans la maison des Marronniers. Elle a été organisée par le groupe des généalogistes franciliens 59/62/80.

Thomas DELVAUX



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467° livraison des bulletins des Antiquaires de la Morinie


Comme à l'accoutumée, les sujets les plus variés sont évoqués dans le dernier bulletin de la Société Académique des Antiquaires de la Morinie. De l'Antiquité à nos jours, les études présentées y sont très diversifiées, notamment :

- Thomas DELVAUX, Vivre et mourir à Saint-Omer au Grand-Siècle
- Thomas DELVAUX, Flandre, Artois et Picardie aux Croisades. Essai statistique sur les origines septentrionales
- Philippe MAY, L'ancien mobilier de l'église de Bilques
- Philippe MAY, Le clocher de Quelmes
- Matthieu FONTAINE, Incendies et lutte contre les risques d'incendie au XVIII° siècle
- Matthieu FONTAINE, Le bourreau de Saint-Omer



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