retour à morinie.com
<- Actualités précédentes - Actualités suivantes ->

A propos du Traité de Nimègue (1678)

En complément de son exposition, visible en salle patrimoniale de la bibliothèque d'Agglomération de Saint-Omer jusqu'au 21 septembre 2008, Matthieu donnera une conférence sur le thème suivant :

"A propos du Traité de Nimègue (1678) : Quelques réflexions autour du rattachement de Saint-Omer à la France"

En prenant pour point de départ un traité de Nimègue qui sera replacé dans son contexte, il s'agira d'évoquer les principaux enjeux du déplacement de la frontière et la place de la ville de Saint-Omer dans la province d'Artois à la fin du XVIIe et au XVIIIe siècle.

Cette conférence se tiendra en la salle patrimoniale de la bibliothèque d'Agglomération de Saint-Omer, rue Gambetta, le samedi 13 septembre 2008 de 18 heures 15 à 19 heures 45.

Matthieu signe en outre, avec Vincent Cuvilliers et Philippe Moulis une communication au colloque international de Vizille (10-12 septembre 2008), organisé par la Société des études robespierristes, le Centre d'histoire "Espaces et Cultures" (Université Clermont 2) et le Musée de la Révolution française, ayant pour thème cette année "Les noblesses françaises dans l'Europe de la Révolution (années 1770-1800)". Cette communication, prévue le vendredi 12 septembre à 11 heures 25, portera sur "Une jeunesse en émigration : parcours et formation d’une noble artésienne, Julie de Gantès".

Matthieu FONTAINE

---------------

Les prisonniers de guerre espagnols sous l’Empire : descendance Olivarès


Des six soldats espagnols, prisonniers à Saint-Venant sous l’Empire, à avoir fait souche dans la région, (Bayonas, Paraneda, Tendero, les frères Rodriguez), Grégoire Olivares est de loin celui qui a laissé la descendance la plus prolifique, encore représentée aujourd’hui de manière agnatique. Pour s’en convaincre, il suffit d’arpenter le cimetière de la commune ou de se rendre au monument aux morts, où l’on constate que l’un d’eux a laissé sa vie pour la France, leur pays d’adoption, lors de la Grande Guerre.

La descendance de ce soldat castillan, désormais publié dans le numéro 99 de Généalogie 62, constitue le troisième volet de l’étude de François et Matthieu sur les prisonniers de guerre espagnols sous l’Empire en Artois.

François CARON & Matthieu FONTAINE

---------------

Quand un paysage particulier devient attraction touristique : les îles flottantes dans le marais audomarois (Artois, XVI-XVIIIe siècles)


Le 135e congrès des sociétés historiques et scientifiques se tient à la faculté des lettres et sciences humaines de Neuchâtel du 6 au 11 avril 2010. Le sujet sur lequel se penche les congressistes est vaste, il tient en un mot, « Paysages », et est abordé autour de six thèmes : « Des mots pour le dire », « Paysages perçus, paysages représentés », « Paysage identitaire, paysage patrimonial », « Paysage vécu, paysage subi, paysage construit », « Le paysage et l’eau » et « Le paysage urbain ». Matthieu anime une communication le 7 avril lors de la séance de 14 h sur le sujet suivant : « Quand un paysage particulier devient attraction touristique : les îles flottantes dans le marais audomarois (Artois, XVI-XVIIIe siècles) ».

Matthieu FONTAINE



---------------

Wacquez, de Tournai à Mametz (Pas-de-Calais). Reconstitution d’épisodes d’histoire familiale (ca. 1760-ca.1890)


Paru dans le numéro 45 de Géniwal magazine (janvier-mars 2010), pages 16 à 20, une notice de Matthieu FONTAINE consacrée aux « Wacquez, de Tournai à Mametz (Pas-de-Calais). Reconstitution d’épisodes d’histoire familiale (ca. 1760-ca.1890) ». Y sont retracés quelques moments importants de l’histoire d’une famille originaire de Tournai, dont une branche a fait souche en France, à partir de Mametz et de son hameau Crecques, à la suite de la famille de Merode. On y suit notamment les allers-retours des membres de la famille entre la France et ce qui deviendra la Belgique, et le long cheminement qui les amènera tardivement à la nationalité française, à la fin du XIXe siècle.

Matthieu FONTAINE



---------------

Cousinade Hermary


La venue de Roy et Marie Munro-Hermary pour quelques semaines dans la région d’origine des aïeux paternels de Marie a été l’occasion d’une cousinade.

L’opportunité de se réunir au sein de la ferme natale des Hermary à Saint-Floris pour les familles Braure, Delannoy, Gozé, Glorian, Bourel, Inglard, Caron … et Hermary bien sûr ; l’occasion aussi de digresser sur les multiples ramifications de l’arbre familial, de Red Deer à la Marne en passant par Calais, Cléty, Dohem, Sailly-sur-la-Lys, Lille ou Béthune.

Et comme les coïncidences sont courantes en matière généalogique, François CARON et ses parents ont pu rencontrer dans l’assemblée des personnes ayant vécu à Mazingarbe ou connaissant bien Roquetoire.

François CARON



<- Actualités précédentes - Actualités suivantes ->